Ils vivent en pension de famille : « Cet endroit m’a apporté du réconfort et un toit sur la tête »
01 Juin 2024
La pension de famille de Stiring-Wendel a ouvert en septembre 2021 et accueille 25 résidents. Gérée par le CMSEA Espoir, la structure est un lieu de vie pour des personnes vulnérables, isolées socialement, qui ont besoin d’un lieu sécurisant pour retrouver une stabilité. Deux travailleuses sociales les accompagnent au quotidien.
C’est un petit immeuble moderne de trois étages donnant directement sur la rue Nationale, à Stiring-Wendel. Sur une fenêtre du rez-de-chaussée, une sobre inscription « Pension de famille Espoir » indique où l’on se trouve. Derrière la porte, Justine et Fatiha assurent l’accueil. Les deux femmes sont travailleuses sociales. Elles sont employées par le dispositif Espoir du Comité mosellan de Sauvegarde de l’enfance, de l’adolescence et des adultes (CMSEA) , qui a ouvert ce lieu en 2021. La pension de famille est destinée à des hommes et femmes de plus de 18 ans, en situation de grande précarité, vulnérables, isolés socialement. « Ce sont des personnes au parcours de vie souvent difficile. Certains ont grandi en foyer, d’autres ont connu de graves problèmes d’addiction, des périodes d’errance, à la rue, d’autres encore souffrent de problèmes psychiatriques ou suivent un traitement lourd. Beaucoup sont sous tutelle », décrit Fatiha. « Pour autant, ils sont capables d’une certaine autonomie. Ils ont simplement besoin d’un cadre sécurisant. »
Retour C’est un petit immeuble moderne de trois étages donnant directement sur la rue Nationale, à Stiring-Wendel. Sur une fenêtre du rez-de-chaussée, une sobre inscription « Pension de famille Espoir » indique où l’on se trouve. Derrière la porte, Justine et Fatiha assurent l’accueil. Les deux femmes sont travailleuses sociales. Elles sont employées par le dispositif Espoir du Comité mosellan de Sauvegarde de l’enfance, de l’adolescence et des adultes (CMSEA) , qui a ouvert ce lieu en 2021. La pension de famille est destinée à des hommes et femmes de plus de 18 ans, en situation de grande précarité, vulnérables, isolés socialement. « Ce sont des personnes au parcours de vie souvent difficile. Certains ont grandi en foyer, d’autres ont connu de graves problèmes d’addiction, des périodes d’errance, à la rue, d’autres encore souffrent de problèmes psychiatriques ou suivent un traitement lourd. Beaucoup sont sous tutelle », décrit Fatiha. « Pour autant, ils sont capables d’une certaine autonomie. Ils ont simplement besoin d’un cadre sécurisant. »